Après le sacre de l’ancien ministre des sports et sélectionneur Bernard Laporte à la tête de la Fédération française de rugby, le projet de Grand stade de rugby à Ris-Orangis parait plus que jamais compromis. Certains espèrent toutefois un revirement de sa position.
Le projet de Grand stade est enterré : c’est en substance le message passé par le nouveau patron de la Fédération française de rugby, tout juste intronisé, samedi soir dans l’antre de la Fédération française de rugby de Marcoussis. Bernard Laporte a rapidement réaffirmé sa position à la suite de sa prise de pouvoir. Car le ton était donné durant la campagne : « le projet de Grand Stade se veut pharaonique ! Propriété gagée sur les cautions publiques, ce chantier n’a pas fait les preuves de son financement et de son amortissement » annonçait-il dans son programme.
C’était un des sujets majeurs de cette campagne fédérale pour les instances du rugby français. Après la signature d’un contrat constructeur avec le groupement Ibelys fin juin, les élections à la FFR étaient attendues pour savoir si le projet porté par l’équipe sortante de Pierre Camou allait être poursuivi
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