

L’hameçonnage et les logiciels malveillants sont des adversités auxquelles on doit faire face non seulement sur l’ordinateur, mais aussi sur les appareils mobiles. Voici comment vous protéger, vous, votre smartphone et votre tablette.
Berlin – Il vaut mieux ne toucher les liens dans les e-mails, les SMS ou les messages Messenger qu’avec des doigts pointus ou, en cas de doute, ne pas les toucher du tout. Et pas seulement s’ils sont inattendus ou proviennent d’un expéditeur inconnu.
En effet, c’est surtout avec des e-mails et des messages falsifiés que les criminels tentent d’attirer les utilisateurs sur des sites Web généralement tout aussi falsifiés, afin d’y récupérer des données sensibles telles que des identifiants de connexion.
En cas de doute, il est donc préférable d’appeler les sites web via des moteurs de recherche ou de saisir l’adresse correspondante à la main, conseille la Stiftung Warentest (« test », édition 7/23). Si l’on n’est toujours pas sûr que le mail ou le message en question est un hameçonnage, il faut appeler l’expéditeur présumé.
Des connaissances veulent des données ou de l’argent ?
Selon les experts, cela vaut aussi et surtout lorsque des proches ou des connaissances demandent prétendument des données ou de l’argent. En effet, les comptes de messagerie de ces personnes pourraient avoir été piratés.
Une très bonne protection en cas de vol des données de connexion est toujours la protection à deux facteurs. Il faut l’activer partout où elle est disponible. En effet, les criminels ne peuvent alors pas accéder au compte avec le seul mot de passe usurpé. Il leur manque toujours un code supplémentaire généré sur le smartphone.
Comme il est toujours possible de télécharger et d’installer des applications de n’importe quelle source sur les téléphones Android, il faut être beaucoup plus prudent que sur les appareils iOS, qui ne peuvent obtenir leurs applications que dans l’App-Store d’Apple.
S’en tenir simplement au Google Play Store
Le plus sûr pour les utilisateurs d’Android est de toujours télécharger des applications depuis le Google Play Store, conseillent les experts. Et si l’écran demande l’autorisation d’installer des « applications provenant de sources étrangères », il faut refuser.
Et avec toutes ces mesures de sécurité, a-t-on encore besoin d’un antivirus pour Android ? Le magazine « test », qui a passé au crible onze applications de ce type, répond à la question par une métaphore de veste de pluie : « Même si vous n’avez pas besoin de la veste,cela ne fait pas de mal de l’avoir sur soi ». Le vainqueur du test et seule application « très bonne » (note globale 1,5) a été l’application gratuite « Intercept X for Mobile » de Sophos. dpa

Fleury a un amour profond pour les jeux vidéo et le sport, deux passions qui ont façonné sa vie et tout ce qu’elle fait. En grandissant, Fleury était entouré de jeux vidéo et d’équipements sportifs et a rapidement développé un intérêt pour ces derniers. Elle est ainsi devenue rédactrice chez Essonneinfo sur ces thématiques.
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