

Alors que le premier épisode de Der Schwarm s’essoufflait par endroits et manquait d’un suspense approprié, l’intrigue s’accélère dans un premier temps pour se scinder en quatre intrigues dans la troisième partie. Mais comme souvent, trop de cuisiniers gâtent la bouillie, comme c’est le cas ici – du moins en partie…
Encore un drame relationnel
Dans sa critique du début de la saison de la production de la ZDF « Der Schwarm », le critique a exprimé l’espoir que l’intrigue s’intensifie dans les épisodes à venir et atteigne sa forme maximale. Il convient de préciser ici que ce souhait attend toujours d’être exaucé. Dans la deuxième partie, l’attention se porte d’abord sur le docteur Cécile Roche (Cécile de France), qui enquête sur la mort inhabituelle d’un chef de cuisine. Alors qu’il s’apprêtait à ouvrir un homard dans la cuisine de son restaurant, l’animal a éclaté, libérant une masse blanche et gélatineuse apparemment très contagieuse.
La scène devrait paraître très familière aux fans du roman, puisqu’elle a été reprise quasiment à l’identique dans l’adaptation. Mais à peine le suspense s’installe-t-il que le récit bascule à nouveau en mode soap et met en lumière la relation brisée de Cécile avec son (ex-)mari qui, pour des raisons de carrière, néglige leurs enfants. Le tout s’étire jusqu’à la onzième minute, sans être d’aucune manière productif ou profond. La boîte à deux n’est en fait pas pertinente et fait office de pur remplissage. Pour savoir quelle impression laissent autrement les trois premiers épisodes, rendez-vous sur Serienjunkies.de. (Reinhard Prahl)

Fleury a un amour profond pour les jeux vidéo et le sport, deux passions qui ont façonné sa vie et tout ce qu’elle fait. En grandissant, Fleury était entouré de jeux vidéo et d’équipements sportifs et a rapidement développé un intérêt pour ces derniers. Elle est ainsi devenue rédactrice chez Essonneinfo sur ces thématiques.
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