Ce que les excuses d’Amira Elghawaby disent de l’islamophobie

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Invités : Raisa Patel et Asmaa Malik

Le 26 janvier, le Premier ministre Justin Trudeau a nommé Amira Elghawaby, une femme visiblement musulmane, comme personne-ressource en matière d’islamophobie. Quelques jours plus tard, Mme Elghawaby s’est retrouvée au centre d’une tempête médiatique et des représentants du gouvernement ont demandé sa démission. Pourquoi ? Un article d’opinion de 2019 qu’Elghawaby a co-écrit sur le controversé projet de loi 21 du Québec a refait surface, dans lequel elle citait un sondage selon lequel le soutien au projet de loi était lié à un sentiment anti-musulman. Cette nouvelle réaction a suscité une vague vertigineuse de critiques de la part du Québec et des membres du gouvernement fédéral qui lui a donné ce poste, soulevant de sérieuses questions sur l’islamophobie dans ce pays. Raisa Patel du Toronto Star et Asmaa Malik, professeur associé de journalisme à l’Université métropolitaine de Toronto, se joignent à « This Matters » pour en discuter.

Cet épisode a été produit par Saba Eitizaz, Alexis Green et Paolo Marques.

Sources audio : CPAC et Global News

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