
Prisonnier sur une planète remplie de méchants aliens ? Pas des vacances de rêve. Il faut donc s’attaquer aux défenses. Cela tombe bien, dans Dome Keeper, on est assis dans une mine – et donc sur les matières premières nécessaires.
Berlin – Être emprisonné sous un dôme de verre sur une planète sombre et dangereuse semble être un scénario cauchemardesque en soi. De plus, des extraterrestres agressifs y vivent et s’en prennent à toute forme de vie étrangère. Cela conduit à une lutte pour la survie. Et dans « Dome Keeper », les joueurs sont au cœur de l’action.
Sous le dôme de verre, on est constamment exposé aux vagues d’attaques des aliens. Il faut donc mettre en place des défenses et utiliser les armes et les compétences disponibles pour repousser les méchants. Après tout, on ne veut avoir que des amis sous la vitre.
Pendant la pause de combat, on va vite sous terre
Comme la défense ne demande pas seulement beaucoup de force, mais aussi beaucoup de ressources, on va sous terre entre chaque vague. Heureusement, on dispose déjà des matières premières nécessaires dans sa petite mine. Grâce à elles, on peut maintenir son équipement à niveau. C’est le seul moyen de tenir à distance des ennemis de plus en plus puissants.
La recherche des trois différents types de ressources minérales n’est pas particulièrement compliquée en soi. Mais comme il reste rarement plus d’une minute avant la prochaine attaque, le temps et l’efficacité sont mis à rude épreuve. Mais cela vaut la peine de se dépêcher. Après tout, il est très amusant d’éliminer encore plus d’ennemis lourds à la fois grâce à de nouvelles attaques explosives.
Chic et addictif
Avec ses graphismes classiques et impressionnants, « Dome Keeper » est aussi très beau. Certes, le jeu reste fidèle à son cycle permanent de défense et de recherche de ressources, ce qui en soi ne promet pas une grande variété. Mais ceux qui apprécient ce principe de jeu devraient rester motivés à long terme. Car s’imposer face à des vagues de monstres presque infinies peut devenir très addictif.
« Dome Keeper » est disponible pour PC et coûte 18 euros. dpa
Fleury a un amour profond pour les jeux vidéo et le sport, deux passions qui ont façonné sa vie et tout ce qu’elle fait. En grandissant, Fleury était entouré de jeux vidéo et d’équipements sportifs et a rapidement développé un intérêt pour ces derniers. Elle est ainsi devenue rédactrice chez Essonneinfo sur ces thématiques.
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